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7.3. Serres communales – Installation solaire : bravo pour le projet qui semble marquer votre intérêt pour une solution déjà bien au point en en faisant un système de démonstration. Y associer pour le montage une initiation pour des jeunes du Gué et du Schakel peut aussi apporter un intérêt social. Par contre, le dossier n’est pas clair sur le choix ou non de faire installer l’afficheur digital permettant de visualiser la production et le fonctionnement du système. Le budget prévu de 6000€ est suffisant ! (5029€ + 850€ je crois) mais j’ai trouvé un commentaire dans le dossier qui semble éliminer l’option de l’afficheur. Qu’en est-il?

7.10 Buvette du Parc Malou – Remplacement des chassis : en commission votre commentaire portait sur la consommation en énergie du bâtiment or dans le dossier, il est question de simples vitrages (cf offre de Technoflex) « remplacement des vitrages par du simple vitrage (feuilletté) dans les chassis existants. Qu’est-ce qui explique cette incohérence ?

7.11. Parc de Roodebeek – Construction d’une nouvelle étable
60.000€ pour une simple étable de 57 m2 c’est pas rien ce que vous proposez !

Bon, une dalle de béton, du terrassement et un bardage en planches de cèdre chic et cher: difficile de trouver un matériau plus luxueux (65€/m2 contre 20€/m2 sapin autoclavé). Par contre un toit plat en roofing, c’est pingre et ce n’est pas très durable, surtout avec une construction directement sous les arbres du parc. Pourquoi ne pas rester dans le style du kiosque ou du bloc toilettes ou encore des annexes du musée communal qui ont des couvertures en ardoises synthétiques sur toit en faible pente ? Ce serait homogène, durable, efficace et peu couteux. On éviterait le style blokhaus et on y gagnerait en esthétique.

Plus préoccupant, il est prévu de raccorder les eaux d’écoulement de la toiture au réseau d’égoutage ! Cela n’a pas de sens dans un parc public : pour absorber l’eau de pluie, il suffirait de prévoir un puit perdu ou mieux, une légère noue engazonnée dans l’enclos des animaux. Chaussée de Roodebeek les habitants sont déjà exposés à suffisament de risques d’inondation pour accroître encore l’imperméabilisation dans le parc.

13. Chemin vicinal – redressement
Pouvez-vous clarifier le nouveau trajet ? Je croyais avoir compris mais après consultation du plan je ne suis plus sûr du tout.
Le plan annexé au dossier indique :

  • trajet à supprimer (l’ancien trajet occupé par les nouveaux immeubles)
  • nouveau sentier (celui qui par en ligne droite vers les Floralies)
  • trajet inchangé (celui qui passe entre les maisons et va vers la rue St Lambert)

Qu’en est-il ?

14. Echange de biens immobiliers – Immeuble Staar ch de Roodebeek 137 et terrain communal :
Le bâtiment date des années 1970 est vide depuis 15 ans au moins et est « à mieux isoler et à mettre aux normes ». Dans ce projet, à combien estimez-vous le coût de la rénovation ? La commune bénéficiera t-elle de subsides pour cela ?

17. Règlement communal relatif à l’octroi d’une prime pour la pose d’un clapet anti-retour :
Bravo, vous réalisez ainsi une des recommandations Ecolo de la campagne de 2012 : dans un toute boîtes consacré à « Apprivoiser l’eau dans nos politiques communales » nous recommandions la pose d’un clapet anti-retour. Ce qui est piquant, c’est que le précédent échevin de l’environnement avait déclaré son opposition à ce type de solution après les inondations de juillet 2000 allant jusqu’à dire que cela agraverait les problèmes en faisant courir des risques de dégàts aux installations d’égoutage !
Allez-vous vraiment faire la promotion de cette prime et combien de primes prévoyez-vous de payer(3000€, max 50% 200€)?

18.3 Place de la Sainte Famille – Réaménagement du parc : il n’y a pas encore de parc donc il devrait s’agir d’un « aménagement de parc »… Autre chose, pouvez-vous lever mes inquiétudes par rapport à l’élimination de la renouée du Japon ? Le cahier des charges prévoit d’excaver sur 1m et « d’éliminer les racines et les tiges » en les évacuant. Avez-vous une technique de triage préconisée par une entreprise spécialisée ?

C’est interpellant quand on sait que le moindre résidu de tige ou de racine peut servir à régéner cette plante invasive et très difficile à éradiquer. Les meilleures techniques recommandent le brûlage sur place pour éviter le transport et la dissémination…

Autre question, étant donné sa localisation, le risque est grand de voir tous les propriétaires de toutous du quartier utiliser cet espace vert comme crottoir. Pourquoi ne pas voir prévu un ou mieux, deux canisites disposés stratégiquement pour ne pas offrir d’excuse aux maîtres indélicats ?

(préparé par J-C Van der Auwera)